Plus rarement, la sélection évolue dans d'autres villes, au Stadion Stari plac (en) de Split et au stade Koševo de Sarajevo notamment. Toutes les informations de la Bibliothèque Nationale de France sur : Yougoslavie (1992-2003) International de 1946 à 1956, il a aussi longtemps détenu le record du nombre de capes en équipe nationale[93]. En 1992 contre l'Australie l'équipe se voit obliger de jouer la rencontre à Chypre car la Yougoslavie est ravagé par la guerre, elle gagne 5-0 mais doit déclarer forfait contre Cuba ne pouvant se rendre si loin. Championnat de Yougoslavie - Palmarès depuis 1922/1923. Les sélections de Yougoslavie ont souvent brillé par leur jeu vif et offensif, pratiqué par des joueurs d'un haut niveau technique ; souvent gâché au plus haut niveau pour des raisons extra-sportives, tenant à la situation du pays : scepticisme, individualisme, vanité[83]. La sélection traverse la compétition en touriste[68]. Dès le premier tour, les Yougoslaves sont balayés par la Celeste (7-0), qui remporte le tournoi en impressionnant les observateurs par la qualité de son jeu[16]. Après la déception de 1976, Mladinić laisse sa place à Ivan Toplak, qui tente de rajeunir le groupe. August 1920 Československo - Jugoslavija 7:0 (IFFHS) », « 3. Fiche détaillée de la pièce 100 Dinara, Yougoslavie, avec photos et gestion de votre collection et des échanges : tirages, descriptions, métal, poids, valeur et autres infos numismatiques ». After the breakup of Yugoslavia, in 1991–1992, the original senior Yugoslavian national basketball team was dissolved. Ces dernières comptent jusqu'à cinq techniciens, généralement passés par les principaux clubs du pays. Bien organisés, ils créent la surprise en menant deux buts à zéro à la mi-temps grâce à Tirnanić et Bek[21]. D'après la Fédération de Serbie de football, la sélection de Yougoslavie a disputé 511 matchs dans son histoire[Note 14]. Le chef communiste Tito prend finalement le pouvoir et crée en novembre 1945 une république fédérale à parti unique communiste, la République fédérative populaire de Yougoslavie. La troisième place du tournoi, attribuée par la suite lors d’une petite finale entre les deux perdants des demi-finales, fait l'objet de débats pour cette Coupe du monde. Avec l'éclatement du pays, l'équipe de Yougoslavie est mise en sommeil après le match de préparation pour l'Euro disputé à Amsterdam contre les Pays-Bas le 25 mars 1992 (défaite 2-0). Cette fois, les sélectionnés sont majoritairement issus de l'Étoile rouge de Belgrade. En 2010, il est révélé que les Allemands étaient dopés à la pervitine pendant la compétition, les contrôles anti-dopage n'existant pas encore à l'époque[39]. La Fédération yougoslave de football (FSJ) reste aux commandes du football yougoslave (version serbo-monténégrine) dont l'équipe nationale revient en scène fin 1994, toujours sous les mêmes couleurs bleu-blanc-rouge. En Coupe du monde, les Yougoslaves affrontent l'Allemagne en quart de finale trois fois d'affilée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À partir de 1930 et à l’exception notable du Croate Ante Mladinić au milieu des années 1970, les sélectionneurs lors des compétitions internationales sont toujours issus de la communauté serbe, et cela jusqu'en 1986. Les qualifications pour la Coupe du monde 1978 tournent au désastre, la Yougoslavie étant logiquement éliminée après deux défaites à domicile par l'Espagne et la Roumanie, et cela malgré l'éclosion de Safet Sušić, auteur de cinq buts pour ses deux premières sélections. L'année suivante est consacrée à la qualification pour la Coupe du monde en Suède, assurée face aux Roumains et aux Grecs. C'est la dernière apparition en Coupe du monde et dans une grande phase finale de la Yougoslavie (l'équipe fut exclu de l'euro 1992 en raison de la guerre de Bosnie-Herzégovine). Lors de l'Euro 1968, le défenseur droit Mirsad Fazlagić et l'infatigable milieu Ivica Osim accompagnent Džajić au sein de l'équipe-type du tournoi[98]. Les Croates sortant vainqueurs, le club le plus représenté est le Građanski de Zagreb[8]. 1995, déjà un autre monde. Les premières compétitions officielles auxquelles la sélection participe sont les tournois olympiques des années 1920. Le gardien de but Ilija Pantelić et l'attaquant Vahidin Musemić sont deux autres piliers de cette sélection[54]. Elle avait auparavant terminé deuxième de son groupe derrière la RFA (défaite inaugurale contre la RFA, puis victoire contre la Colombie et les Émirats arabes unis) puis éliminé l'Espagne en huitièmes de finale. Elle dispute à l'Italie, pays hôte, la place en finale. Peu avant la demi-heure de jeu, la Yougoslavie marque un but qui est refusé pour une position de hors-jeu controversée[21]. En novembre 1962, la Yougoslavie reçoit la Belgique en tour préliminaire des éliminatoires. Dix jours avant la compétition, les Yougoslaves sont exclus de l'Euro[76]. j v n d bp bc diff Mais le gardien de but argentin Goycochea sort les deux derniers tirs yougoslaves et qualifie les siens[75]. La fédération yougoslave est finalement dissoute en 1939 et remplacée par trois associations, respectivement croate, slovène et serbe, chapeautées par un conseil « suprême »[8]. Les Tchécoslovaques ouvrent la marque juste après la pause. Écosse - Norvège France - Chypre, 0:0 3:1 1:2 1:1 3:1 1:0 3:0 1:2 1:1 2:0. Pandaković reste cependant en poste. Réduits à dix après treize minutes de jeu à la suite de la sortie sur blessure du demi Rudolf Rupec[9], ancien international autrichien[10], les Yougoslaves s'inclinent lourdement face à des Tchèques au jeu beaucoup plus fluide (0-7)[11]. Les joueurs yougoslaves, officiellement fonctionnaires, ne sont pas considérés comme professionnels et peuvent donc participer sans souci[33]. On entend pendant l'été guerre civile et puis là ça passe, puis vers l'automne, tranquillement pas vite, automne 1991, on commence à se faire dire ça se pourrait qu'on aille en Yougoslavie. Cette défaite est vécue comme un drame au sein du football yougoslave[2]. Défaite en 1948, 1952 et 1956, elle remporte finalement la médaille d'or en 1960. Les éliminatoires pour l'Euro 1992 sont une formalité, seulement entachée par la victoire du Danemark à Belgrade qui répond à celle des Slaves à Copenhague. Le tournoi va être marqué par la violence de plusieurs matchs, notamment lors de la défaite initiale des Yougoslaves face aux Soviétiques (2-0), champions d'Europe en titre[46]. Chypre - Norvège Yougoslavie - France Un nouveau match nul face à l’Écosse (1-1) leur suffit à s'assurer la 1re place du groupe à la différence de buts. Tirnanić laisse les rênes de la sélection à son adjoint Lovrić, accompagné de deux nouveaux techniciens, Mihajlović et Ruševljanin. À défaut de championnat d'Europe, la sélection dispute en 1980 face à la Roumanie la finale de la dernière édition de la Coupe des Balkans, relancée quelques années plus tôt. Cette période de calme relatif prend fin avec la signature en mars 1941 d'une alliance du Royaume et de l’Allemagne nazie. Malgré les difficultés rencontrées lors de la première édition, l'UEFA organise un nouveau championnat d'Europe selon les mêmes modalités. Un autre livre, publié en 2009, mentionne que la Yougoslavie aurait refusé de jouer une petite finale, excédée par la mauvaise qualité de l'arbitrage lors de sa demi-finale contre l'Uruguay[27]. Les trois premiers matchs disputés dans son pays par la sélection yougoslave, en 1922, sont accueillis respectivement par le SK Jugoslavija, résident jusqu'en 1925 du Trkalište dans le centre de Belgrade, par le HŠK Concordia Zagreb, qui vient d'achever la construction du Stadion Concordije (qui accueillera onze autres matchs de la sélection jusqu'en 1947), et enfin par le HAŠK, propriétaire du stade Maksimir, qui deviendra bientôt le plus grand stade de la capitale croate[87]. Solides, les Slaves gagnent leur place en quart de finale en battant la France (1-0) en match d'ouverture, puis en assurant le nul face au Brésil (1-1 ap). Fondé en 1954, l'organisme s'inspire du succès de la Coupe des clubs champions européens, lancée en 1955. Supérieurs physiquement, les Soviétiques emportent la décision au bout de la prolongation, les Yougoslaves devant se satisfaire d'une nouvelle place d'honneur[43],[44]. Avec la dissolution progressive de la Yougoslavie, l'équipe nationale laisse la place au début des années 1990 aux sélections de Croatie, de Slovénie, de Macédoine, de Bosnie-Herzégovine, et enfin de République fédérale de Yougoslavie (qui comprend la Serbie et le Monténégro). En termes de résultat record, ses plus larges victoires l'ont été contre le Venezuela (10-0) en Coupe de l'Indépendance du Brésil le 14 juin 1972, contre l'Inde (10-1) aux Jeux olympiques de 1952 le 15 juin et contre le Zaïre (9-0) lors de la Coupe du monde 1974 le 18 juin, égalant ainsi l'écart record dans la compétition[90]. Le milieu des années 1970 est une nouvelle période de bons résultats. Malgré tout, la sélection se qualifie pour le second tour en prenant le dessus sur l'Uruguay (3-1), après un match de nouveau brutal[Note 4], et la Colombie (5-0). Maigre consolation, la Yougoslavie est élue « équipe européenne de l'année » par l'hebdomadaire France Football[2]. Les Yougoslaves remportent leur poule de premier tour, devant le Venezuela (battu 10-0), le Paraguay, le Pérou et la Bolivie. Forte de nouveaux succès (en Pologne et en Roumanie notamment, en juin 1923), la sélection s'inscrit aux Jeux olympiques de 1924, organisés à Paris. Lors de la première Coupe du monde en 1930, les Yougoslaves portent un maillot rouge et des bas noirs, avec l'aigle bicéphale des armes du Royaume de Yougoslavie cousu comme écusson[80]. Le SK Soko naît le 18 avril 1903[1]. M. Vachon parle des préparatifs avant le déploiement pour la Yougoslavie en 1992 avec les forces de l’OTAN et le besoin de peindre l’équipement en blanc. Après-guerre, les couleurs changent et reprennent celles du drapeau de la République fédérative socialiste de Yougoslavie : maillot bleu, shorts blancs et bas rouges. La Yougoslavie attaque les qualifications de la Coupe du monde de 1962, confiée au Chili, avec une ambition légitime. C'est le cas de la Croatie et de la Slovénie dès 1992, de la Macédoine en 1994, de la Bosnie-Herzégovine en 1996. La sélection va atteindre plusieurs fois la finale des Jeux olympiques : le gardien de but Vladimir Beara, considéré comme le meilleur de l'histoire de la sélection[92], le défenseur Ivan Horvat, le demi Prvoslav Mihajlović, les attaquants Bobek et Boškov, les frères Željko et Zlatko Čajkovski. Le groupe yougoslave est en grande partie le même. Versés dans un groupe de quatre équipes dont seul le vainqueur est qualifié, les Yougoslaves sont battus en Belgique (3-0) puis tenus en échec à Belgrade par l'Espagne (0-0). En 1992, la Yougoslavie disqualifiée est remplacée quelques jours avant l'Euro par le Danemark, son dauphin, qui remporte la compétition à la surprise des observateurs. Aucune sélection d'Amérique du Sud n'est présente, et celles d'Europe de l'Ouest sont amoindries. Opposés à l'Allemagne, qualifiée malgré une large défaite face à la Hongrie en phase de poule, ils sont battus 2-0, de façon un peu inattendue. Cette période est marquée par les mouvements sécessionnistes au sein du Royaume, notamment de la part des Croates. Cette réalité devait être prise en compte par les sélectionneurs yougoslaves qui, outre les critères sportifs, ont dû prendre en compte la nationalité des joueurs, leur club d'origine et… le lieu du match pour composer leur équipe et s'assurer du meilleur soutien populaire. La Yougoslavie est placée dans le groupe 6 avec la France, l'Écosse, la Norvège et Chypre. Ivica Osim entraîneur 30/04/1986 27/04/1992 Slobodan Halilovic entraîneur de jeunes 01/07/1991 01/07/1992 Slobodan Santrac entraîneur de jeunes 01/07/1983 23/12/1994 La Yougoslavie affronte la France, la Norvège et le Luxembourg. Quelques jours plus tôt, Osim avait démissionné à la suite du bombardement de Sarajevo par l'armée serbe. Les Yougoslaves prennent le dessus sur les Pays-Bas, qui n'ont pas encore tiré parti du formidable succès de leurs clubs sur la scène européenne, et l'Allemagne de l'Est. Au premier tour des Jeux olympiques de 1928 à Amsterdam, la Yougoslavie affronte le Portugal, vainqueur du Chili en tour préliminaire, mais s'incline de nouveau (2-1), malgré un but de Mirko Bonačić[18]. Sur le terrain, une finale d’Eurobasket à couper le souffle entre la Yougoslavie et la Lituanie, deux pays passionnés et fusionnels avec la balle orange. Lovrić est remplacé par un groupe de techniciens rassemblés autour de Tirnanić, qui entame un troisième mandat. Malgré une victoire (2-0) à Belgrade, elle perd le trophée en s'inclinant 4-1 à Bucarest. Résultats d'une équipe; Rencontres entre 2 équipes . En finale, la Tchécoslovaquie crée la surprise en remportant le trophée aux tirs au but[61]. Écosse - Yougoslavie Chypre - France La paix revenue, le développement du football reprend son cours : la Fédération de Yougoslavie de football (en serbo-croate Jugoslavenski nogometni savez) naît à Zagreb le 18 avril 1919. L'équipe - Contact; Nos amis partenaires; Conditions d'utilisation; EFR12 Radio; Finale nationale - Eurovision - Yougoslavie 1992. Le second en 1959 par l'Étoile rouge pour permettre la construction du Stade de l'Étoile rouge. Quelques semaines après la Coupe du monde débutent les qualifications pour la première édition du Championnat d'Europe des nations, organisé par l'Union des associations européennes de football. Plusieurs joueurs d'importance y participent, notamment Milutin Ivković, un des héros de 1930, tué en mai 1943[2]. Initialement prévu à Santiago, le match est déplacé à Viña del Mar après la qualification surprise de la sélection chilienne pour l'autre demi-finale, de sorte que seulement 6 000 spectateurs vexés assistent au duel slave. Parmi les titulaires récurrents, Emil Perška participe aux trois premières olympiades de 1920, 1924 et 1928, et Milutin Ivković est le premier à atteindre le cap des 20 sélections début 1930. Début 1985, les Yougoslaves partent deux semaines en Inde participer à la Nehru Cup, une compétition internationale amicale dont ils perdent la finale face à l'Union soviétique[70]. En 1968, il faut deux finales à Rome à la Squadra Azzurra italienne pour l'emporter sur la Yougoslavie. Grâce à ses deux victoires initiales, la Yougoslavie termine officiellement à la 5e place du tournoi. En Europe, 32 équipes concourent pour neuf places, une par groupe. Outre les anciens Petrović et Džajić, cette génération compte plusieurs joueurs de grande valeur comme Katalinski, Popivoda ou encore Šurjak.