Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s’agit du plus vieux parti d’opposition en Algérie. « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Il fait partie des fondateurs du Front des forces socialistes en 1963. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. L’ancien moudjahid et commandant de la wilaya iv historique Lakhdar Bouregaâ a rendu l’âme mercredi soir à l’âge de 87 ans des suites du coronavirus. Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. L’histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa. Aucun lieu à afficher. Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Il est libéré le 2 janvier 2020[24], en même temps que de nombreux autres militants du hirak[25]. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Il est condamné le 11 mai à une amende de 100 000 dinars pour « atteinte à corps constitués »[27]. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. D'après lui, il est trahi par le commandant Azzedine[8]. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». Il avait 87 ans. L’Algérie n’aura enfanté qu’un seul Lakhdar Bouregaâ, comme elle n’a enfanté qu’un seul Abane, un Ben M’hidi, un Didouche, un Amirouche, un Krim, une Hassiba Ben Bouali. En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. Lakhdar Bouregaâ, ex-commandant de la Wilaya IV historique, renvoie dos à dos Amar Saïdani et Abdelaziz Belkhadem. Libya 24 - ليبيا 24. Par Massin Amrouni; jeudi 31 octobre 2019 à 23:48; Suivez-nous sur Google News pour ne rien rater. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision Ennahar TV, ce chef historique tire à boulets rouges sur ces deux personnages politiques appartenant au «néo-FLN». ou. Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Auteurs de l'article « Lakhdar Bouregaa » : « Lakhdar Bouregaâ raconte la torture dans les geôles de Boumediene », dzvidéo, 30 juin 2019. En 2019, durant le hirak, il fait partie des membres qui soutiennent la volte-face de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) contre Abdelaziz Bouteflika[11], ce qui contribue à précipiter la démission du président. Connexion. Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. » « Gaid Salah accuse les jeunes de la … Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Lakhdar Bouregaâ est décédé à cause du coronavirus le mercredi 4 novembre 2020. S’inscrire. Lakhdar Bouragaa. C’est sa véritable nature. Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. Sa vie, son parcours militant font de lui un symbole de l’engagement, de la résistance et, surtout, de la lutte pour un idéal défendu par tous ses semblables : libérer le pays et instaurer une véritable démocratie en Algérie. Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Lakhdar Brahimi (arabe : لخضر براهيمي), né le 1er janvier 1934 à El Azizia, près de Tablat en Algérie, est un diplomate et homme politique algérien. Favoris. La Vidéo à l’origine de l’arrestation de Lakhdar BOUREGAA… Lakhdar Bouregaa, commandant de la 4eme wilaya historique, arrêté le 29 juin 2019! Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Lakhdar Bouregaâ a été arrêté samedi, chez lui, par des agents des services de sécurité en civil et conduit dans un endroit inconnu. Plusieurs militants à l’origine de cette action pacifique ont été arrêtés par les policiers, déplorent le comité national pour la libération des détenus d’opinion, un collectif […] Le Commandant Lakhdar, son nom de guerre, a été au cœur de la lutte de Libération nationale dès 1956 à la wilaya IV. Inscrivez-vous sur Facebook pour communiquer avec Lakhdar Bouregaa et d’autres personnes que vous pouvez connaître. Le 5 novembre 2019, il est transporté à l'hôpital Mustapha Pacha où il subit une intervention chirurgicale pour une occlusion intestinale[23]. Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. https://babzman.com/lakhdar-bouregaa-lhomme-qui-naimait-pas-lete Suite à des déclarations au sujet du général Ahmed Gaïd Salah, nouvel homme fort du régime, qu'il accuse notamment d'avoir déjà choisi le futur président de la République[13], ainsi qu'au sujet de l'armée des frontières, il est arrêté le 30 juin après une plainte du ministère de la Défense[14] et poursuivi pour « outrage à corps constitué et atteinte au moral de l’armée »[15]. Lakhdar Bouregaa est sur Facebook. Il fait partie des militants dont la libération est posée par le hirak comme préalable pour des discussions avec le pouvoir[17],[18]. L’information aurait pu passer inaperçue, noyée dans la multitude d’interpellations qui se succèdent depuis plusieurs semaines. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Dimanche 1 juillet 1962, référendum d’autodétermination. Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. This video is unavailable. Il est député FLN de Médéa à l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Il suit l’actualité au jour le jour. Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. Hospitalisé depuis plus de dix jours avec son épouse à la clinique Les Glycines à Alger après leur infection au (covid-19), le … Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2]. Figure du Hirak, il est arrêté le 30 juin 2019 puis libéré le 2 janvier 2020, son procès est fixé au 12 mars 2020. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Il fait son service militaire à Mostaganem , puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins [ 1 ] , avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un … Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Mais avant de rejoindre l'ALN en 1956, il est appelé sous les drapeaux et fait son service militaire au centre d'instruction de Mostaghanem, puis est affecté à Briançon en France où il devient chasseur alpin (soit un soldat d'élite) et enfin à Safi au Maroc. Des centaines d'Algériens se sont retrouvés malgré les restrictions imposées par le coronavirus pour rendre un dernier hommage à cet opposant du régime. Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Il suit l’actualité au jour le jour. La télévision nationale affirme qu'il a usurpé le titre de moudjahid et l'identité de son frère, ce que Youcef Khatib et la presse démentent[16]. Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. Il est un officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Le 28 octobre, sa détention est renouvelée pour quatre mois[22]. Au procès où il comparait libre, le 12 mars 2020, le procureur demande sa condamnation à 1 an de prison ferme[26]. Makhlouf Mehenni, « Lakhdar Bouregâa, l’anathème qui ne passe pas », « ALERTE – Lakhdar Bouregaa libéré », sur, Aylan Afir, « Hirak en Algérie : Un an de prison ferme requis contre Lakhdar Bouregâa », observalgerie.com, 12 mars 2020, « Lakhder Bouregaa inhumé ce jeudi au cimetière de Sidi Yahia », sur, « Algérie : Le Moudjahid Lakhdar Bouregaâ est décédé », sur, « Alger : Enterrement du Moudjahid Lakhdar Bouregaâ », sur, Conseil national de la Révolution algérienne, Assemblée nationale constituante algérienne, https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2001-1-page-163.htm#, Youcef Khatib sort de son silence et retrace le parcours de Bouregaa, Hocine Aït Ahmed (3): de la création du FFS à la conférence de Londres, Algérie: le camp Bouteflika perd certains de ses soutiens, Les étudiants réagissent à la dernière campagne d’arrestations : «Libérez Lakhdar Bouregaâ !». À 86 ans et à quelques […] Les chefs des wilayas, dont Lakhdar Bouregaa, cherchent à reprendre l'avantage[5]. Il est défendu par Mostefa Bouchachi et Abdelghani Badi. Le 22 octobre, il refuse de répondre au juge d'instruction, dénonçant les chefs d'inculpation et estimant que le gouvernement est illégitime[21]. Lakhdar Bouregaa naît le 15 mars 1933 à El Omaria en Algérie, alors départements français. Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. Lakhdar Brahimi (Algerian pronunciation: [læxdˤɑr bræhiːmi]; Arabic: الأخضر الإبراهيمي ‎; al-Akhḍar al-Ibrāhīmi; born 1 January 1934) is an Algerian United Nations diplomat who served as the United Nations and Arab League Special Envoy to Syria until 14 May 2014. Il a également été élu membre de l'Assemblée nationale constituante algérienne en septembre 1962. Lakhdar Bouregâa est arrêté et incarcéré. En juillet 1969, il est condamné par la Cour révolutionnaire présidée par Mohamed Abdelghani à 10 ans de prison pour avoir participé à un complot visant à assassiner Houari Boumédiène, et à 20 ans de prison pour avoir participé à la tentative de coup d'État de Tahar Zbiri, en décembre 1967. Plusieurs personnalités politiques et historiques ont été contactées par la Présidence de la République pour les associer au projet de la Conférence nationale inclusive et indépendante qui sera mise en place pour conduire la période de transition à la suite de l’abandon officiel du 5e mandat, a-t-on appris de sources sûres. Lakhdar Bouregaâ a fait partie de l'OS. Il a été présenté aujourd’hui devant le procureur du tribunal de Bir Mourad Raïs qui a ordonné sa mise sous mandat de dépôt. Lakhdar Bouregaa, a highly respected veteran of Algeria's war of independence against France and a key figure in an anti-regime protest movement, has died at the age of 87. « Depuis le 4eme mandat, ce Gaid Salah est le commissaire politique de Bouteflika. Facebook offre à … Arrêté le 3 juillet 1967, il affirme avoir été torturé jusqu'au 27 août 1968, lorsqu'il est transféré à la prison de Sid El-Houari, à Oran, avant d'être ramené à Alger le 27 septembre pour de nouveaux interrogatoires, puis d'être retransféré à Oran le 27 octobre[7]. He was Minister of Foreign Affairs of Algeria from 1991 to 1993.. C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. Lakhdar Bouregâa : « Le pouvoir a un plan et le nom du futur président » 27 Juin 2019 à 10:10 Le Moudjahid et militant politique Lakhdar Bouregaâ a annoncé, ce jeudi 27 juin dans une déclaration à TSA Arabi, qu’il « ne participera pas à la conférence de l’opposition prévue pour le 6 juillet ». "L'ORIGINE DE LA VIE" - Hubert REEVES, conférence exceptionnelle - Duration: 1:13:53. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. À propos de Lakhdar Bouregaa. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria et mort le 4 novembre 2020 à El Biar, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. En juin 1963, il participe à la création de l'Union pour la défense de la révolution socialiste, éphémère parti clandestin de Krim Belkacem. Watch Queue Queue Conseil économique social et environnemental Recommended for you 1:13:53 Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. Il est enterré le lendemain au cimetière de Sidi Yahia à Alger[30]. Mais il ne pouvait en être ainsi car c’est l’un des derniers baroudeurs de la guerre de Libération encore en vie qui vient d’être mis à l’ombre. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12]. Il est l'adjoint de Youcef Khatib, chef de la wilaya IV, jusqu'à la fin de la guerre, qu'il termine avec le grade de commandant[4]. Avec Mohand Oulhadj, Lakhdar Bouregaa sert d'intermédiaire entre Krim Belkacem et Hocine Aït Ahmed, ce dernier créant en septembre 1963 le Front des forces socialistes, défiant le pouvoir, le FLN ayant été déclaré parti unique. « Lakhdar Bouregaa maintenu en détention ». Bekhti Ould Abdallah, « Je connaissais l’aptitude à la trahison du commandant Azzedine », Kamel Lakhdar-Chaouche, « Lakhdar Bouregaâ: Le fidèle compagnon de lutte de Ait Ahmed », Lexpressiondz.com, 2 janvier 2019, « L'histoire du Moudjahid Lakhdar Bouregaa - Algérie360.com », sur, « « Libérez Bouregaâ », tonnent les manifestants à Alger », dzvidéo, 23 août 2019. La fille du Moujahid a lancé un véritable cri d’alarme aux algériens pour aider sa famille à libérer Philippines * France * Pride Worldwide * Egypt * Sudan * West Papua * Guatemala * Algeria Il rejoint le FLN puis combat au sein de l’Armée de Libération Nationale en 1956. Lakhdar Bouregaa (en arabe : لخضر بورقعة (Bouregâa)), né le 15 mars 1933 à El Omaria, est un militant indépendantiste et homme politique algérien. Pendant que plusieurs associations des droits de l’homme expriment leur profond dégoût, la fondation Bigeard, du nom du fameux général français et chasseur des moudjahidines durant la guerre d’Algérie, a annoncé son entière satisfaction d’apprendre que Lakhdar Bourregaa a été “mis hors d’état de nuire”. Lakhdar Bouregaa passe sept ans en prison[9] : il est libéré en 1975[10]. Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. Autres. C’est toujours un plaisir de discuter avec Lakhdar Bouregaâ et pas seulement pour son humour sarcastique ou ses succulentes anecdotes. Le 26 juin, il participe à la réunion de signature du « pacte pour l'alternative démocratique » au siège du RCD[12]. Il rejette ensuite toute démarche visant à le libérer, tant que les manifestants ne l'auront pas été[20]. Télévision. Lakhdar Bouregaa meurt le 4 novembre 2020 à l'hôpital de la Sûreté nationale les Glycines à El Biar, des suites de la Covid-19[28],[29]. Le 7 octobre, il envisage d'entamer une grève de la faim, mais il en est dissuadé au vu de son âge et de son état de santé, par ses avocats, son entourage et des citoyens[19]. Ce vendredi matin, un rassemblement en hommage au Moudjahid Lakhdar Bouregaa, décédé mercredi soir à Alger, organisé en plein centre-ville d’Annaba a été réprimé par les services de sécurité. Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. Toujours humble et affable ! Membre du Front de libération nationale (Algérie), Personnalité du Front des forces socialistes, Mort de la maladie à coronavirus 2019 en Algérie. Algérie – La libération du Moudjahid Lakhdar Bouregaa est au centre de la lettre adressée ce mercredi 13 novembre, par l’organisation nationale des moudjahidine (ONM) au … Durant la crise de l'été 1962, le GPRA et les militants de l'intérieur sont vaincus par l'armée des frontières et le clan d'Oujda, menés par Houari Boumédiène, qui s'est allié avec Ahmed Ben Bella. Il devient chef de la zone II de la wilaya IV entre 1959 et 1960[3]. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965. Durant la guerre d'Algérie, en 1956, il rejoint l'armée de libération nationale (ALN) après avoir déserté l'armée française. La révolte du FFS est écrasée à son tour début 1964[6], avant le coup d'État de Houari Boumédiène en 1965. Où les généraux algériens ont-ils caché Bouteflika? #Lakhdar_Bouregaa LIBRE. Il fait son service militaire à Mostaganem, puis à Briançon en France métropolitaine chez les chasseurs alpins[1], avant d'être envoyé à Safi au Maroc d'où il s'évade en mars 1956 avec un groupe d'appelés pour rejoindre le FLN[2].